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L'ALGÉRIE POUR MÉMOIRE - Fernande STORA
L'ALGÉRIE POUR MÉMOIRE - Fernande STORA

Préface et photographies de Jean-Pierre STORA

DE SEPTEMBRE 1962 À MAI 1963


MÉMOIRES DE GUERRE, DE GAULLE ÉCRIVAIN, Yves REY-HERME
MÉMOIRES DE GUERRE, DE GAULLE ÉCRIVAIN, Yves REY-HERME

Nouvelle édition mise à jour.
Un demi-siècle de parole et d'écriture    
L'Appel du 18 juin 1940
Le verbe et l'Histoire               
Un remarquable portraitiste

Analyse critique permettant de mieux aborder les centres d'intérêt des Mémoires de guerre et notamment l'étude du tome III "Le Salut 1944-1946"

Les Mémoires de guerre mettent en lumière les qualités d'écrivain de De Gaulle, son style et sa pensée romanesque, et sa culture littéraire importante lorsqu'il met clairement en échos certains passages lyriques de son récit avec les grandes œuvres classiques françaises (Lamartine, Paul Valery, Chateaubriand...)

Yves REY-HERME (1924-2000) est né dans une famille de résistants. Il a pu dès sa jeunesse se familiariser avec les écrits de Charles de Gaulle et comprendre que l’écrivain De Gaulle fut toute sa vie plus un intellectuel qu’un militaire. S’est engagé aux côtés d’Emmanuel Mounier et d’Edmond Michelet avec lequel il resta toujours très lié.

Professeur agrégé de lettres classiques, il a enseigné à Embrun, Zagreb, Marseille et enfin à Paris aux Lycées Condorcet et Saint-Louis. Yves REY-HERME a consacré une partie de sa vie au développement de la francophonie notamment en tant que directeur à l’Alliance française puis à l’Union latine, période ou il fit par le monde de nombreuses tournées de conférences consacrées à la littérature contemporaine, celle qui lui était la plus demandée s’intitulait De Gaulle, l’écrivain, notamment par les Nations Unies pour le bicentenaire de la Révolution française. Yves REY-HERME, fin connaisseur de la littérature française et notamment des écrivains François Mauriac, Chateaubriand, Jean-Paul Sartre, Albert Camus, Emmanuel Mounier, Jacques Rivière, Alain-Fournier, présida l’Amitié Charles Péguy, pour laquelle il écrivit de nombreux articles et quelques livres.
Pour l’année 2010-2011, Parmi la liste des objets d’étude et des œuvres obligatoires inscrits au programme de littérature de la classe terminale de la série littéraire dans la catégorie Littérature et débats d’idées — Littérature et histoire, figure : « Mémoires de guerre », tome III, « Le Salut, 1944-1946 », Charles de Gaulle, aux côtés de "l'Odyssée", de "Fin de partie" de Beckett et de "Tous les matin du monde" de Pascal Quignard - dans d'autres catégories.

Référence : arrêté du 20-7-2001 fixant le programme de l'enseignement de littérature en classe terminale de la série littéraire (NORMENE0101658A) publié au JORF du 4-8-2001 et au BOEN hors-série n° 3 du 30-8-2001.

Photo de couverture de Cecil Beaton, portraitiste officiel de la famille royale anglaise, prise à Peets wood.

80 pages


GASTON COUTÉ, SES PLUS BEAUX TEXTES
GASTON COUTÉ, SES PLUS BEAUX TEXTES

Préface de Jean-Paul MONTEIL suivie d’un hommage de Xavier PRIVAS, bois de Jacob-HIANS, dessins de Germain DELATOUSCHE.

100e anniversaire de sa mort 1911 - 2011

Farouchement marginal, épris de liberté jusqu’à la violence, le mépris des imbéciles devait sans doute le remplir d’aise…
Par destination le poète est, à mon avis, l’homme des foules et non des salons.
« Le poète véritable a ce privilégie, même en ne parlant que de lui, de confesser les joies et les douleurs de la multitude. C’est la bonne tradition d’Homère à Villon, en passant par les trouvères et les troubadours du Moyen Age. Un poète qui n’est pas d’expression populaire ne représente pour moi rien du tout. Je le crois destiné à périr et si je le compare au bidet de la Putain dans le cabinet de toilette, j’estime que ce dernier objet est infiniment plus utile. » Ainsi parlait Jehan Rictus.
Pour le poète comme je le comprends, il faut donc un public. Ou peut-il l’atteindre ailleurs qu’au cabaret? Le café-concert, le théâtre, les journaux lui sont fermés ou presque. Le cabaret correspond donc à une nécessité qui a toujours existé parce que l’homme a besoin de poésie véritable. Plus peut-être encore que de pain. Mais il faut s’entendre sur cette réalité et cette tradition perdue. Il ne s’agit pas uniquement de célébrer les yeux et les tétons de sa maîtresse. La poésie peut être l’expression plus virile, plus contemporaine, plus directe. Bien d’autres sujets lui conviennent et Gaston COUTÉ l’a magnifiquement prouvé. Aussi le lui fit-on payer très cher. Le public l’en récompensa. (…)
Au soir du 25 juin, le poète beauceron sort du cabaret des Adrets, sur les grands boulevards, dans un état d’épuisement complet. Il s’accorde la dépense d’un fiacre qui le conduit au pied de la rue Lepic, refusant d’aller plus loin. C’est en rasant les murs que le pauvre Couté poursuit sa route, en titubant, jusqu’à la place du Tertre. Sa logeuse appelle un médecin qui prescrit une admission en toute hâte à l’hôpital Lariboisière. C’est là qu’il meurt, seul, comme un gueux, à peine âgé de 31 ans, le 28 juin 1911. Le Merle du Peuple avait cessé de chanter… Gaston Coutant, conservateur et secrétaire de l’association “Les Amis de Gaston Couté”

Itinéraire Gaston Couté

268 pages

isbn 9782353910069



Des auteurs en dédicace au Festival de Loire

Des auteurs en dédicace au Festival de Loire

Jeudi              Jean-Pierre Simon

Vendredi         Georges Joumas

Samedi           Régis Guyotat et Marie-Cécile Sainson

Dimanche       Michelle Devinant


Orléans va finalement honorer la mémoire du capitaine capitaine Dreyfus

Accusé de trahison parce que juif, déporté en Guyane avant d’être réhabilité en 1906 Alfred Dreyfus reste le « symbole de la lutte contre l’antisémitisme et l’injustice et figure du courage citoyen » comme l’écrit une délibération du conseil municipal d’Orléans qui se réunira ce lundi 22 septembre. Affecté en mars 1918 au commandement du parc d’artillerie de la cinquième région militaire situé rue du Parc à Orléans, Alfred Dreyfus y demeure jusqu’en janvier 1919 et y accomplit sa dernière mission militaire.

Alors que la LICRA et les défenseurs des droits humains réclamaient depuis longtemps une reconnaissance orléanaise, la mairie était restée sourde jusqu’à présent. Elle vient finalement d’accepter un hommage et d’honorer la mémoire du Capitaine Alfred Dreyfus en nommant la place d’Armes située dans le quartier Sonis : « Place d’Armes – Alfred Dreyfus ».


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JOUMAS Georges
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Alfred Dreyfus à Orléans

 

Alfred Dreyfus acheva sa carrière militaire à Orléans, après avoir servi pendant dix mois au sein du cinquième régiment d’artillerie. Un court passage mais hautement symbolique bientôt célébré par la ville qui a décidé de renommer l’actuelle Place d’Armes en Place Alfred Dreyfus. Cette décision, qui devrait être scellée par le vote du conseil municipal le 22 septembre prochain, est soutenue par la LICRA qui avait par ailleurs lancé une pétition en ce sens au mois d’août, pétition qui avait recueilli plus de 700 signatures. Une initiative qui avait fortement plu au maire de la ville, soucieux de préserver la mémoire de l’Affaire. Pour en savoir plus, on peut suivre ce lien. Une bonne nouvelle à laquelle n'est pas étranger notre ami Georges Joumas, auteur, entre autres, de : Échos de l'affaire Dreyfus en orléanais (2010), Alfred Dreyfus officier en 14-18 (2011) et Alfred Dreyfus citoyen (2018).


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"Il s'est passé des choses, on ne peut pas les taire" : Georges Joumas se félicite de la future place Alfred-Dreyfus à Orléans

L'historien loirétain, qui est un spécialiste reconnu de l'affaire Dreyfus ayant écrit plusieurs ouvrages sur le sujet et son prisme orléanais, avait commencé à militer pour une telle reconnaissance, en 2000. Il avait sollicité plusieurs maires d'Orléans. Même s'il n'avait pas obtenu gain de cause, d'autres ont pris le relais. Et Serge Grouard a (enfin) concrétisé ce devoir de mémoire.

Le maire d'Orléans, Serge Grouard (divers droite), a été sensible aux efforts de la Licra du Loiret qui a lancé, fin août, une pétition pour avoir un lieu dédié à Alfred Dreyfus, à Orléans, où il a, des années après l'affaire (déclenchée en 1898), terminé sa carrière militaire (avril 1918 - janvier 1919), en tant que commandant du parc d'artillerie de la cinquième région militaire. L'élu a indiqué qu'il avait décidé de rebaptiser la place d'armes du quartier Sonis en place Alfred-Dreyfus.

Des démarches dès 2000

Une nouvelle qui n'est pas passée inaperçue auprès du Loirétain Georges Joumas, historien et spécialiste de l'affaire Dreyfus qui a écrit plusieurs livres. Il s'en félicite sachant qu'il a commencé des démarches afin d'honorer la mémoire de Dreyfus, à Orléans. En 2000, il avait écrit à Jean-Pierre Sueur (PS), alors maire d'Orléans. Sauf que Jean-Pierre Sueur a été battu par Serge Grouard aux élections, en 2001. 

 
"En 2006, j'ai écrit une longue lettre à Serge Grouard. Il était d'accord mais rien ne s'est passé. Comme il y avait de nouvelles voies dans le quartier Sonis à baptiser, je l'ai relancé en 2010. Mais la proposition n'a pas été retenue. J'ai même écrit à Olivier Carré, en 2019, mais je n'ai pas eu de retour."

Pensant avoir fait le nécessaire, d'autres ont pris le relais. À l'image de la Licra du Loiret. Mais aussi de Ghislaine Kounowski (PS), conseillère municipale d'opposition, qui a écrit une tribune dans le bulletin municipal de septembre 2025, intitulée "Alfred Deryfus, le grand oublié de la mémoire orléanaise".
Ainsi que le président de la République qui a proposé que le 12 juillet devienne une journée commémorative pour Dreyfus, pour la victoire de la justice et de la vérité contre la haine et l’antisémitisme. En effet, le 12 juillet 1906, la Cour de cassation rendait à Alfred Dreyfus son innocence, sa liberté, sa dignité et son honneur.

 
photo georges Joumas
Georges Joumas a découvert les ramifications orléanaises de l'affaire Dreyfus en se penchant sur la vie de Louis Gallouédec, maire de Saint-Jean-de-Braye de 1912 à 1937.
 
Alfred Dreyfuscorrection Dreyfus
 

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Rencontre dédicace le 7 octobre 2025 avec Roger BARRETTE à L'UTL de Calais

Cambrai


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Pétition de la Licra Loiret pour la dénomination d’une rue, d’une place ou d’un square Alfred Dreyfus à Orléans

 

Le problème

Pétition de la Licra Loiret pour la dénomination d’une rue, d’une place ou d’un square  Alfred Dreyfus à Orléans

À l’attention de monsieur Serge Grouard, maire d’Orléans

Alfred Dreyfus, une histoire orléanaise

Monsieur le maire, La Licra Loiret sollicite de votre bienveillance la dénomination, au sein de la commune d’Orléans, d’une rue, d’une place ou d’un square au nom d’Alfred Dreyfus. Il s’agit d’une demande à la fois modeste dans sa forme et majeure dans sa portée symbolique.

Dreyfus a connu Orléans. Il y arrive en mars 1918, affecté au commandement du parc d’artillerie de la cinquième région militaire, situé rue du Parc, dans le quartier Dunois. Il y demeure jusqu’en janvier 1919. Et pourtant, aucun lieu de notre ville ne vient rappeler ce passage, cette présence. Nulle trace mémorielle à ce jour dans la cité johannique...

Dans un contexte marqué par la réapparition brutale d’un antisémitisme décomplexé, et alors que les fondements mêmes de notre pacte républicain sont fragilisés, nommer un espace public Alfred Dreyfus serait porteur de sens, illustrant dans le territoire de la ville notre promesse républicaine et rappelant la mémoire d’un homme qui « se refusa toujours à désespérer de la République, de la Patrie et de l’Armée » comme le soulignait récemment le chef de l’État. 

Faut-il évoquer l’affaire ? Alfred Dreyfus, officier français, juif, Alsacien demeuré fidèle à la France après 1871, faussement accusé de trahison au profit de l’Allemagne. Condamné sur la base de faux documents, dégradé en place publique, envoyé au bagne. Dreyfus incarne la victime absolue de la raison d’État, broyée par une mécanique antisémite dans laquelle l’armée, la presse, le monde politique et une large frange de l’opinion furent complices ou aveuglés par les préjugés.

Et même si la République a fini par reconnaître son erreur, même si Dreyfus a été officiellement réhabilité après 55 mois de bagne et douze années de procédures, l’homme n’a jamais cessé de porter en lui le poids de l’infamie. Son nom, il le craignait stigmatisé à jamais. Sa descendance, disait-il, risquait d’en porter le fardeau.

Aujourd’hui, sa famille, que la Licra Loiret a rencontrée, œuvre depuis trois décennies pour que son nom incarne, enfin et pleinement, ce qu’il est devenu : une figure du courage civique, de la fidélité aux principes républicains, de la lutte pour la vérité contre l’oppression. Et c’est bien cette signification qu’il revêt en 2025.

L’Affaire Dreyfus a transformé la France en un laboratoire historique des tensions entre tradition et modernité, révélant les lignes de fracture comme les ressources morales de la République. Elle reste, au XXIᵉ siècle, un repère incontournable pour comprendre les débats contemporains sur la justice, la laïcité, la citoyenneté, et la lutte contre les discriminations.

Monsieur le Maire, nous vous proposons d’inaugurer ensemble cette rue, cette place ou ce square Alfred Dreyfus, aux côtés de ses descendants.

Ce serait un geste fort. Pour que l’histoire ne soit pas tue, et qu’Orléans, loin de rouvrir la blessure, devienne un lieu de reconnaissance et de mémoire partagée. Pour que notre ville ne soit pas le théâtre d’une nouvelle affaire Dreyfus !

Le bureau de la Licra Loiret et sa présidente, Joëlle Gellert

Mag centre Dreyfus 2025


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Dédicace de Jacques-Olivier TROMPAS à la Librairie Le Millefeuille à Clamecy

6 août 2025 à la Librairie Le Millefeuille


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Dimanche matin 27 juillet à 11 h à la Librairie ALADIN à Saint-Denis-en-Val, retrouvez Michèle DEVINANT

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Michelle Devinant juillet 2025

 


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ICI : Pourquoi n'y a-t-il pas de rue Alfred Dreyfus à Orléans ?

Recherchez sur le site de France bleu, cet article et vous pourrez écouter l'interview de l'historien Georges JOUMAS, auteur de trois ouvrages sur le capitaine Dreyfus !

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Rencontres Michèle Desbordes les 13 et 14 mai 2025 à la Médiathèque d'Orléans

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LA REP 12/05/20225

 


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