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Historiens et géographes : Adrienne Bolland
LES VIES D’ADRIENNE BOLLAND, pionnière de l’aviation, féministe et résistante (1895-1975) Sophie DESCHAMPS, Georges JOUMAS
Sophie DESCHAMPS/Georges JOUMAS
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Par Administrateur réseau le vendredi 18 août 2023, 20:00 - C'est dans le journal ...


Sophie DESCHAMPS/Georges JOUMAS
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La Cliothèque : L’hiver du connétable
Par Administrateur réseau le mercredi 7 juin 2023, 17:57 - C'est dans le journal ...
Comme le rappelle dans sa préface Arnaud Teyssier, président du Conseil Scientifique de la Fondation Charles de Gaulle, le connétable mélancolique, à la suite de l’échec de son référendum en 1969 et sa démission, ne cède pourtant pas à la défaite. En plongeant dans le séjour irlandais du général avant de regagner Colombey où il décèdera le 9 novembre 1970, Pierre Joannon offre une face méconnue du plus grand français du XXe siècle. L’intime rattrape l’héritage politique et public car après tout l’imaginaire français « n’aime jamais mieux ses grands hommes que dans le dépouillement de l’infortune et l’éloignement de l’exil. »1 .
Pierre Joannon au Festival de Nice
Par Administrateur réseau le vendredi 26 mai 2023, 22:58 - C'est dans le journal ...
The Irish Times : De Valera and de Gaulle: ‘There was a kind of symmetry between them’ French president’s admiration for Irish leader - and a distaste for Britain - underpinned Ireland’s welcome to the club
Par Administrateur réseau le samedi 8 avril 2023, 19:41 - C'est dans le journal ...
Maybe Charles De Gaulle was right in the 1960s to twice veto British membership of the then EEC, economics professor John O’Hagan mused in an article for The Irish Times during the Brexit debate. President Emmanuel Macron, a great admirer of de Gaulle, as good as echoed the view. Britain, in de Gaulle’s view, was too insular, pro-American and non-European in outlook – essentially, as some might say of a country that never really believed in the project, “not club material”.
It was a perspective Pierre Joannon – historian, Hibernophile and Irish honorary consul – returned to last Friday at a wide-ranging seminar in Iveagh House, Dublin, to celebrate Franco-Irish relations as part of the Department of Foreign Affairs’ own celebration of 50 years of EU membership.
Just as the Belfast Agreement was said to be “Sunningdale for slow learners”, Joannon suggested that for Ireland, belatedly, “Brexit creates de Gaulle’s Europe”.
The flip side of de Gaulle’s hostility to British membership and the Anglo-Saxon political culture he despised was his warm welcome for Irish aspirations to membership, an impossibility while the country’s biggest trading partner remained outside. It was an affection fed by his admiration for de Valera.
William Fay, Irish ambassador to France, wrote back to HQ about a de Gaulle meeting in 1960, well before the famous “Non”, recording the French president’s view of “‘one obstacle to the building of Europe which had hitherto proved insuperable; that obstacle was named England”. Au contraire, he spoke of Ireland’s apparent affinity to “Latin Europe”, Fay wrote, in sharing “not merely the Faith but the psychological reactions of Latin peoples”.
[ ‘The fabulous twins’ – Lara Marlowe on de Gaulle and de Valera ]
When another Irish ambassador, Thomas Commins, met de Gaulle in 1966, he found him similarly positive about Ireland, insisting that no problems existed between the two countries, albeit more could be done in terms of practical co-operation. France would not stand in Ireland’s way. Indeed, de Gaulle appeared delighted, former aide and biographer Alain Peyrefitte observed, to provoke the UK by welcoming Ireland in. His toast at a formal dinner in Ireland in 1969 brushed aside diplomatic niceties: “Je bois à l’Irlande; à l’Irlande toute entière.”
Peyrefitte described a conversation in 1963 with the general about Ireland: “The Irish constitute a real nation, a true fatherland. They remained faithful to themselves, to their culture, to their religion, to their personality. They can be a counterweight to England, so great is their dislike towards their neighbour.
“They know what it is to have been a satellite and to have ceased to be so by the sheer strength of their will, even if it meant one fighting against 20.”
Historian Jonathan Fenby wrote of de Gaulle that “from his 20s, he had no doubt about his place in history, referring to himself in the third person and carefully crafting his identification with the nation ... His romantic idea of France was tempered by extreme realism founded in his belief in the fundamental importance of the nation state, with history and geography prevailing over ideology.” Familiar? Little wonder the strong mutual affinity with a de Valera cut from the same cloth. The French journalist Jean Lacouture called them “the fabulous twins”.
France remains the relationship in Europe most valued, closest, and most assiduously cultivated by Irish diplomacy
“They looked alike,” Joannon has written. “The same great height. Both had very poor eyesight and the same careful gestures. By the time they met, both had made history and exited history. There was a kind of symmetry between them. Both were born in the 19th century and believed in their own destiny. De Gaulle was a soldier in the first World War; Dev was the last commander of the Easter Rising to lay down arms before the British. They were imprisoned and tried to escape, then came to power because they’d fought for liberation. Both were traditionalists and practising Catholics who revolutionised their countries.”
Yet, well beyond that interpersonal relationship, France remained, and remains, the relationship in Europe most valued, closest, and most assiduously cultivated by Irish diplomacy. Early in the Brexit negotiations Macron met taoiseach Leo Varadkar at the Elysée palace and said, very much in that de Gaulle spirit, he would “never abandon Ireland or the Irish people, no matter what”. And, remarkably, during that painful divorce process, like other member states with as much at stake, he never did.
And yet, if de Gaulle’s view of British unclubability may seem like clairvoyance, the increasingly politically and economically integrated EU we now inhabit is a far cry from “de Gaulle’s Europe”. Or indeed, one suspects, de Valera’s. Both France, Gaullist Macron included, and Ireland have moved on far from de Gaulle’s instinctive intergovernmentalist vision and see the increasing pooling of sovereignty as enhancing not diminishing.
Brexit, the loss of the great obstacle to integration, opens up that possibility.
Revue Libr’Arbitres numéro 41 de Mars 2023 : Une des plus belles stèles dressées à la mémoire du général de Gaulle
Par Administrateur réseau le lundi 27 mars 2023, 12:07 - C'est dans le journal ...
Le Parlement des écrivaines francophones et son anthologie
Par Administrateur réseau le lundi 20 mars 2023, 17:01 - C'est dans le journal ...
Revue Politique Internationale
Par Administrateur réseau le mercredi 1 mars 2023, 16:52 - C'est dans le journal ...
The Irish Times : L'Hiver du Connétable
Par Administrateur réseau le mardi 21 février 2023, 12:20 - C'est dans le journal ...
Nice Matin : Pierre Joannon raconte De Gaulle et la verte Érin...
Par Administrateur réseau le lundi 13 février 2023, 14:51 - C'est dans le journal ...
Les tablettes de Christopher Gérard : L'Hiver du Connétable, Charles de Gaulle et l'Irlande
Par Administrateur réseau le lundi 13 février 2023, 10:47 - C'est dans le journal ...
Il y a près de vingt-cinq ans, les éditions Artus, maison bretonne de haute tenue, me faisaient parvenir un curieux essai de l’écrivain franco-irlandais Pierre Joannon consacré au court exil irlandais du général de Gaulle après le référendum de 1969. Voici que ce livre splendide est réédité, prétexte à une relecture qui ne m’a en rien déçu. De Gaulle descendait par sa mère d’une antique lignée irlandaise, les Mac Cartan, qui, du XIIe au XVIIIe siècle batailla contre l’Anglais. Après une ultime défaite, le dernier Mac Cartan s’exila en France pour servir le Roy au sein de la glorieuse Brigade irlandaise. L’un de ses descendants servait d’ailleurs en juillet 1789, quand il proposa à Louis XVI de balayer la populace qui le conspuait, proposition déclinée par l’intéressé avec les conséquences que nous savons. Après sa dramatique démission, de Gaulle voulut se ressourcer au pays de ses ancêtres, vu comme une sorte de citadelle au large du monde moderne. Sa sympathie pour l’Irlande était ancienne ; il fut d’ailleurs le seul chef allié à ne pas critiquer, en 1945, le président De Valera pour sa politique de neutralité militaire (mais non politique, ce qui est souvent oublié). Ce dernier ne l’oublia pas. Les deux vieux proscrits, tour à tour rebelles et chefs d’état, se ressemblaient de façon hallucinante, comme des jumeaux. Une commune vision plus qu’hautaine de leur destin, une même passion pour la souveraineté nationale, une même foi les réunissaient. Pour paraphraser Malraux, tous deux appartenaient à l’histoire, et donc à la haine. De Gaulle passa quelques semaines en Irlande, dans le Connemara notamment, à ruminer sa défaite tout en relisant Chateaubriand et en rédigeant ses mémoires. Son accueil à Dublin par De Valera fut triomphal, et les Irlandais n’oublièrent jamais son toast « à l’Irlande toute entière », ce clair appel au peuple d’Irlande à s’affirmer et à rester lui-même – en gaélique, Sinn Fein. L’essai de Pierre Joannon est fluide comme un roman, passionné autant que rigoureux - un splendide exemple d’érudition sauvage.
Christopher Gérard
Figaro Magazine : De Gaulle face à lui-même : L'Hiver du Connétable
Par Administrateur réseau le vendredi 10 février 2023, 18:23 - C'est dans le journal ...
L'Ena, De Gaulle et Joannon dans Service littéraire
Par Administrateur réseau le mardi 31 janvier 2023, 12:52 - C'est dans le journal ...
L’Hiver du Connétable. Pierre Joannon évoque le séjour de Charles de Gaulle en Irlande… sur la terre de ses ancêtres [Interview]
Par Administrateur réseau le samedi 21 janvier 2023, 15:34 - C'est dans le journal ...
Qui sait que Charles de Gaulle a des ancêtres irlandais, et non des moindres puisqu’en l’occurrence, il descendait du clan des Mac Cartan ? Qui connait le récit de son séjour irlandais, au lendemain de son échec lors du référendum de 1969, pour d’une certaine façon « se mettre au vert » ?
Figaro littéraire : De Gaulle, l'appel de l'Irlande
Par Administrateur réseau le mercredi 18 janvier 2023, 14:12 - C'est dans le journal ...
Loiret magazine : Les Vies d'Adrienne Bolland...
LES VIES D’ADRIENNE BOLLAND, pionnière de l’aviation, féministe et résistante (1895-1975) Sophie DESCHAMPS, Georges JOUMAS
Sophie DESCHAMPS/Georges JOUMAS
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Par Administrateur réseau le lundi 12 décembre 2022, 15:36 - C'est dans le journal ...


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Orléans Mag : Les Vies d'Adrienne Bolland
Par Administrateur réseau le lundi 5 décembre 2022, 19:55 - C'est dans le journal ...
MagCentre : La triple vie d’Adrienne Bolland
LES VIES D’ADRIENNE BOLLAND, pionnière de l’aviation, féministe et résistante (1895-1975) Ebook - Sophie DESCHAMPS, Georges JOUMAS
JOUMAS Georges
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Par Administrateur réseau le samedi 5 novembre 2022, 10:07 - C'est dans le journal ...
Si l’exploit de l’aviatrice qui la première traversa la Cordillère des Andes en 1920 aux commandes d’un biplan Gaudron commence à être rappelé dans les annales de l’aviation, la vie d’Adrienne Bolland ne se limite pas à cet exploit de jeunesse, le livre de Sophie Deschamps et de Georges Joumas revient sur la vie de cette femme au courage hors du commun en nous rappelant son action comme féministe et résistante.
La photo de couverture pose le personnage: auréolé de cheveux fous, un sourire qui fend une figure surmontée d’un regard qui vous transperce, le visage d’Adrienne Bolland dépasse d’une combinaison de mécano fripée ceinturée d’un nœud grossier, le portrait d’une femme dont le destin sera marqué par le courage et la volonté.
Car tel le triplan du célèbre Baron Rouge, la vie d’Adrienne Bolland est un triple engagement d’une femme hors du commun. On ne peut mesurer la force de caractère d’Adrienne Bolland dans sa volonté de devenir aviatrice qu’en se rappelant que l’aviation était alors passée en une vingtaine d’années d’un sport pour casse-cou fortunés à un univers de héros quasi-légendaires dont Guynemer fut le symbole absolu. Les femmes n’étaient évidemment pas conviées dans ce monde et si comme le livre nous le rappelle, la période des “années folles” est propice à l’émancipation des femmes, il faut une sacrée audace à une femme pour pousser la porte en 1919, d’une école de pilotage. La volonté fait le reste et Adrienne Bolland réussit très vite à montrer son aptitude à voler ce qui lui vaut d’être embauchée comme pilote par le constructeur Gaudron. avant d’être envoyée en Amérique latine, théâtre de son exploit légendaire dont le récit quasi magique nous est reconstitué dans le livre.
Vient ensuite la vie de saltimbanque de l’aviation de voltige que mènera Adrienne, devenue la reine des loopings, avec son mari dans les années trente; mais surtout le livre, grâce à un travail d’archives croisées, nous dévoile, l’autre combat d’Adrienne Bollant, le féminisme et notamment le combat pour le droit de vote des femmes qu’elle mènera avec d’autres femmes pilotes qui soutienne l’association “La femme nouvelle” fondée par Louise Weiss. Entre deux meetings aériens, Adrienne Bolland participera à des meetings féministes avec ses consœurs pilotes Hélène Boucher et Maryse Bastié pour soutenir la cause des femmes face à un parlement exclusivement masculin !
Après son soutien à la République espagnole, et alors que le gouvernement de Vichy interdit aux femmes de voler, Adrienne Bolland va de nouveau faire la preuve de son courage en s’impliquant très tôt dans la Résistance. Intrépide, elle ira jusqu’à envisager de voler un avion de reconnaissance allemand pour gagner l’Angleterre, mais c’est dans la maison familiale de Donnery dans le Loiret, qu’Adrienne et son mari développeront leur action de renseignement au profit des Alliés.
Ce livre complète ainsi opportunément, le portrait de cette femme d’exception par un travail de recherche et de documentation très complet sur des archives originales, restaurant la mémoire d’une femme à la vie exemplaire à bien des égards.


JOUMAS Georges
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Regards : Georges JOUMAS, l'histoire avant tout !
LES VIES D’ADRIENNE BOLLAND, pionnière de l’aviation, féministe et résistante (1895-1975) Sophie DESCHAMPS, Georges JOUMAS
Sophie DESCHAMPS/Georges JOUMAS
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Par Administrateur réseau le mardi 1 novembre 2022, 17:43 - C'est dans le journal ...


Sophie DESCHAMPS/Georges JOUMAS
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Sophie DESCHAMPS et Georges JOUMAS sur France bleu Orléans aux RDV de Blois
Par Administrateur réseau le vendredi 7 octobre 2022, 13:16 - C'est dans le journal ...
Sophie DESCHAMPS et Georges JOUMAS sur France bleu Orléans aux RDV de Blois le 7 octobre 2022
Mercredi 15h00 Affaires sensibles Mercredi 7 septembre 2022 : Adrienne Bolland
LES VIES D’ADRIENNE BOLLAND, pionnière de l’aviation, féministe et résistante (1895-1975) Sophie DESCHAMPS, Georges JOUMAS
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Par Administrateur réseau le mercredi 7 septembre 2022, 19:38 - C'est dans le journal ...


Sophie DESCHAMPS/Georges JOUMAS
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