Samedi 20 et dimanche 21 octobre 2018
Georges JOUMAS, dimanche 10 h à 11 h
Nouveaux produits
Préface et photographies de Jean-Pierre STORA
DE SEPTEMBRE 1962 À MAI 1963
Nouvelle édition mise à jour.
Un demi-siècle de parole et d'écriture
L'Appel du 18 juin 1940
Le verbe et l'Histoire
Un remarquable portraitiste
Analyse critique permettant de mieux aborder les centres d'intérêt des Mémoires de guerre et notamment l'étude du tome III "Le Salut 1944-1946"
Les Mémoires de guerre mettent en lumière les qualités d'écrivain de De Gaulle, son style et sa pensée romanesque, et sa culture littéraire importante lorsqu'il met clairement en échos certains passages lyriques de son récit avec les grandes œuvres classiques françaises (Lamartine, Paul Valery, Chateaubriand...)
Yves REY-HERME (1924-2000) est né dans une famille de résistants. Il a pu dès sa jeunesse se familiariser avec les écrits de Charles de Gaulle et comprendre que l’écrivain De Gaulle fut toute sa vie plus un intellectuel qu’un militaire. S’est engagé aux côtés d’Emmanuel Mounier et d’Edmond Michelet avec lequel il resta toujours très lié.
Professeur agrégé de lettres classiques, il a enseigné à Embrun, Zagreb, Marseille et enfin à Paris aux Lycées Condorcet et Saint-Louis. Yves REY-HERME a consacré une partie de sa vie au développement de la francophonie notamment en tant que directeur à l’Alliance française puis à l’Union latine, période ou il fit par le monde de nombreuses tournées de conférences consacrées à la littérature contemporaine, celle qui lui était la plus demandée s’intitulait De Gaulle, l’écrivain, notamment par les Nations Unies pour le bicentenaire de la Révolution française. Yves REY-HERME, fin connaisseur de la littérature française et notamment des écrivains François Mauriac, Chateaubriand, Jean-Paul Sartre, Albert Camus, Emmanuel Mounier, Jacques Rivière, Alain-Fournier, présida l’Amitié Charles Péguy, pour laquelle il écrivit de nombreux articles et quelques livres.
Pour l’année 2010-2011, Parmi la liste des objets d’étude et des œuvres obligatoires inscrits au programme de littérature de la classe terminale de la série littéraire dans la catégorie Littérature et débats d’idées — Littérature et histoire, figure : « Mémoires de guerre », tome III, « Le Salut, 1944-1946 », Charles de Gaulle, aux côtés de "l'Odyssée", de "Fin de partie" de Beckett et de "Tous les matin du monde" de Pascal Quignard - dans d'autres catégories.
Référence : arrêté du 20-7-2001 fixant le programme de l'enseignement de littérature en classe terminale de la série littéraire (NORMENE0101658A) publié au JORF du 4-8-2001 et au BOEN hors-série n° 3 du 30-8-2001.
isbn 978-2353910-08-3, 80 pages
Préface de Jean-Paul MONTEIL suivie d’un hommage de Xavier PRIVAS, bois de Jacob-HIANS, dessins de Germain DELATOUSCHE.
100e anniversaire de sa mort 1911 - 2011
Farouchement marginal, épris de liberté jusqu’à la violence, le mépris des imbéciles devait sans doute le remplir d’aise…
Par destination le poète est, à mon avis, l’homme des foules et non des salons.
« Le poète véritable a ce privilégie, même en ne parlant que de lui, de confesser les joies et les douleurs de la multitude. C’est la bonne tradition d’Homère à Villon, en passant par les trouvères et les troubadours du Moyen Age. Un poète qui n’est pas d’expression populaire ne représente pour moi rien du tout. Je le crois destiné à périr et si je le compare au bidet de la Putain dans le cabinet de toilette, j’estime que ce dernier objet est infiniment plus utile. » Ainsi parlait Jehan Rictus.
Pour le poète comme je le comprends, il faut donc un public. Ou peut-il l’atteindre ailleurs qu’au cabaret? Le café-concert, le théâtre, les journaux lui sont fermés ou presque. Le cabaret correspond donc à une nécessité qui a toujours existé parce que l’homme a besoin de poésie véritable. Plus peut-être encore que de pain. Mais il faut s’entendre sur cette réalité et cette tradition perdue. Il ne s’agit pas uniquement de célébrer les yeux et les tétons de sa maîtresse. La poésie peut être l’expression plus virile, plus contemporaine, plus directe. Bien d’autres sujets lui conviennent et Gaston COUTÉ l’a magnifiquement prouvé. Aussi le lui fit-on payer très cher. Le public l’en récompensa. (…)
Au soir du 25 juin, le poète beauceron sort du cabaret des Adrets, sur les grands boulevards, dans un état d’épuisement complet. Il s’accorde la dépense d’un fiacre qui le conduit au pied de la rue Lepic, refusant d’aller plus loin. C’est en rasant les murs que le pauvre Couté poursuit sa route, en titubant, jusqu’à la place du Tertre. Sa logeuse appelle un médecin qui prescrit une admission en toute hâte à l’hôpital Lariboisière. C’est là qu’il meurt, seul, comme un gueux, à peine âgé de 31 ans, le 28 juin 1911. Le Merle du Peuple avait cessé de chanter… Gaston Coutant, conservateur et secrétaire de l’association “Les Amis de Gaston Couté”
268 pages
isbn 9782353910069
Par Administrateur réseau le samedi 20 octobre 2018, 13:37 - Rencontre auteurs
Samedi 20 et dimanche 21 octobre 2018
Georges JOUMAS, dimanche 10 h à 11 h
Par Administrateur réseau le samedi 22 septembre 2018, 18:17 - Rencontre auteurs
Espace Culturel La Monnaye, 22 rue des Remparts 45130 MEUNG-SUR-LOIRE
Par Administrateur réseau le jeudi 17 mai 2018, 16:37 - Rencontre auteurs
jeudi 17 mai à 18 h 30 à la Librairie Les Temps modernes
Par Administrateur réseau le mercredi 4 avril 2018, 22:42 - C'est dans le journal ...
Alfred Dreyfus est bien promu commandant après sa réhabilitation mais ces années de bagne ne comptent pas dans sa carrière militaire. Quelques mois après le gouvernement Sarrien est remplacé par le gouvernement Clemenceau, toutefois Georges Clemenceau s’était opposé à la tactique suivie en 1899 par les avocats de Dreyfus aussi il ne fait rien pour faire intégrer les mois passés en détention dans le temps de service de notre personnage. Aussi voyant qu’il n’obtiendrait pas gain de cause, en juin 1907 Alfred Dreyfus demande à partir en retraite. En août 1914, âgé de plus de soixante-quatre-ans, il reprend du service à sa demande. Georges Joumas a cherché à reconstituer la vie de notre personnage entre 1906 et la déclaration de guerre. Il subit encore des violences verbales et physiques. Il fréquente le salon de la marquise Arconati-Visconti aux idées avancées. Il se fait historien militaire en donnant des articles sur les guerres de la Révolution, celles de Napoléon Ier puis de Napoléon III et enfin sur celle de 1905 qui met au prise le Japon et la Russie. Il s’intéresse aux questions sociales, à la laïcité qu’il défend, à la politique étrangère de ces années-là (celle de son pays mais aussi aux équilibres dans les Balkans, craignant qu’il n’en sort une confrontation générale au niveau européen). Ces articles paraissent dans la Revue historique de Gabriel Monod, voir http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34349205q/date.r=.langFR#. Georges Joumas a relevé également ce que Dreyfus a dit sur des leaders politiques comme Clemenceau (réflexions très intéresssantes), Aristide Briand ou Jaurès. Bien que le choix du titre ne l’annonce pas, on aurait aimé savoir qui il fréquente à cette époque dans sa famille.
Adam Craponne
Par Administrateur réseau le vendredi 16 mars 2018, 10:13 - Rencontre auteurs
Par Administrateur réseau le mardi 27 février 2018, 10:34 - Rencontre auteurs
18 h au 5, rue de Solférino, 75007 Paris
Par Administrateur réseau le jeudi 8 février 2018, 11:32 - Rencontre auteurs
Par Administrateur réseau le samedi 25 novembre 2017, 13:51 - Rencontre auteurs
Rencontre dédicace avec Béatrice MAILLARD-CHAULIN, le samedi 25 novembre de 10h à 18h au Salon de la Librairie Des livres et Vous Maison de quartier du Florida Saint Loup 13010 Marseille
Par Administrateur réseau le dimanche 1 octobre 2017, 16:29 - Rencontre auteurs
41e FETE DU VIN DOUX
FETE DE L’HUMAIN D’ABORD – du 29/09 au 01.10.2017
SECTIONS DU PARTI COMMUNISTE FRANÇAIS DE L’AGGLOMERATION ORLEANAISE
Par Administrateur réseau le dimanche 1 octobre 2017, 11:31 - C'est dans le journal ...
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